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Visages Villages

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Documentaire

Représentations

Vendredi, 13 avril 2018 | 18:00 La Maison du Cinéma

                                    Affiche de Visages Villages

Oeil d’or du meilleur documentaire – Festival de Cannes 2017
Nomination – Oscar du Meilleur documentaire 2018
Nomination – Meilleur film documentaire – César 2018
Nomination – Meilleure musique originale pour Matthieu Chedid – César 2018

Agnès Varda et JR ont des points communs : passion et questionnement sur les images en général et plus précisément sur les lieux et les dispositifs pour les montrer, les partager, les exposer.
Agnès a choisi le cinéma.
JR a choisi de créer des galeries de photographies en plein air.
Quand Agnès et JR se sont rencontrés en 2015, ils ont aussitôt eu envie de travailler ensemble, tourner un film en France, loin des villes, en voyage avec le camion photographique (et magique) de JR. Hasard des rencontres ou projets préparés, ils sont allés vers les autres, les ont écoutés, photographiés et parfois affichés.
Le film raconte aussi l’histoire de leur amitié qui a grandi au cours du tournage, entre surprises et taquineries, en se riant de leurs différences.

Réalisation

Agnès Varda, JR .

Scénario

Agnès Varda, JR

Pays

France

Année

2016

Durée

1h29

Catégorie

Documentaire

Langue

Français

Production

Ciné-Tamaris et Social Animals

Distribution

MK2 Mile-End
Voir la bande annonce Dossier de presse
À propos de

Agnès Varda

Née à Ixelles, en Belgique, en 1928, Agnès Varda y passe sa petite enfance avec ses quatre frères et sœurs. La guerre, en 1940, pousse la famille jusqu’au sud de la France. Adolescence à Sète puis à Paris, où elle suit les cours de l’École du Louvre, et le soir, à ceux de l’École de Vaugirard en section photographie.
Agnès Varda devient photographe de Jean Vilar à la création du festival d’Avignon en 1948, puis de la troupe du Théâtre National Populaire au Palais de Chaillot à Paris. Elle réalise sa première exposition personnelle en 1954 dans la cour de sa maison.
La même année, Agnès Varda passe au cinéma sans aucune formation.
Elle crée alors la société Ciné-Tamaris (une coopérative) pour produire et réaliser son premier long-métrage, La Pointe courte, qui lui vaudra le titre de « Grand-mère de la Nouvelle Vague ». Elle a réalisé depuis courts et longs-métrages, fictions et documentaires.
En 2003, elle commence sa troisième vie d’artiste plasticienne à la Biennale de Venise.
Elle vit à Paris, dans le XIVe, rue Daguerre. Mariée avec le cinéaste Jacques Demy (disparu en 1990), elle a élevé avec lui Rosalie Varda-Demy, créatrice de costumes puis directrice artistique, et Mathieu Demy, comédien et réalisateur.

À propos de

JR .

JR est né en 1983 en région parisienne. Il vit et tra- vaille entre Paris et New York. En 2001, il trouve un appareil photo et documente ses virées nocturnes dans le métro ou sur les toits de Paris pour les coller ensuite sur les murs des villes, genèse d’un long travail de pho- tographie monumentale, toujours en noir et blanc.
JR expose librement sur les murs du monde entier, attirant ainsi l’attention de ceux qui ne fréquentent pas les musées habituellement. Il colle ses photogra- phies dans l’espace public pour révéler les visages et les témoignages d’invisibles, des banlieues françaises à la Turquie, de Times Square au Panthéon, en passant par les ghettos du Kenya ou les favelas du Brésil. Lors des actions de collage, les communautés participent au processus artistique, aucune scène ne séparant les ac- teurs des spectateurs.
L’anonymat de JR et l’absence d’explication accom- pagnant ses immenses portraits lui permettent de laisser un espace libre pour une rencontre entre un sujet-acteur et un passant-interprète, ce qui constitue l’essence de son œuvre. C’est sur cela que JR travaille: poser des questions…

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