La Promesse de l’Aube | Film d’ouverture
La Soirée d’ouverture est une présentation de Radio-Canada
DÈS 17 H
Pizzicato
Le film est précédé du 5 à 7 Lancement du Festival, au Pizzicato 17 h.
Bienvenue à tous! Entrée gratuite.
DÈS 19 H
La Maison du Cinéma
Venez fouler le tapis rouge devant La Maison du Cinéma!
19 H 30
La Maison du Cinéma
Projection du film LA PROMESSE DE L’AUBE
Prix des lycéens du meilleur film pour Éric Barbier et Prix d’interprétation masculine pour Pierre Niney – Festival du film de Sarlat 2017
4 nominations – César 2018 / Meilleure adaptation / Meilleur décor : Pierre Renson / Meilleurs costumes : Catherine Bouchard / Meilleure actrice : Charlotte Gainsbourg
Le film LA PROMESSE DE L’AUBE est l’adaptation cinématographique du roman culte de Romain Gary,
chef d’oeuvre autobiographique d’aventure de l’un des plus importants écrivains français
De son enfance difficile en Pologne en passant par son adolescence sous le soleil de Nice, jusqu’à ses exploits d’aviateur en Afrique pendant la Seconde Guerre Mondiale… Romain Gary a vécu une vie extraordinaire.
Mais cet acharnement à vivre mille vies, à devenir un grand homme et un écrivain célèbre, c’est à Nina, sa mère, qu’il le doit. C’est l’amour fou de cette mère attachante et excentrique qui fera de lui un des romanciers majeurs du XXème siècle, à la vie pleine de rebondissements, de passions et de mystères. Mais cet amour maternel sans bornes sera aussi son fardeau pour la vie…
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« En adaptant le chef d’oeuvre de Romain Gary cher à tant de lecteurs, nous souhaitions revenir à un cinéma ambitieux et populaire dans la lignée de films tels que LE HUSSARD SUR LE TOIT, GERMINAL, LA REINE MARGOT, JEAN DE FLORETTE, etc… Un retour à un cinéma classique et spectaculaire qui se fait plus rare aujourd’hui. Tourné dans 5 pays pendant 14 semaines, LA PROMESSE DE L’AUBE nous entraîne de la Pologne des années 20 au Mexique des années 50 en passant par le désert africain, Nice et Paris avant-guerre ou encore Londres sous les bombes… Une épopée spectaculaire et intimiste au coeur de l’Histoire.»
Eric Jehelmann et Philippe Rousselet, producteurs
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Romain Gary est le seul écrivain à avoir obtenu deux Prix Goncourt (1956 pour Les racines du ciel et en 1975 pour La vie devant soi), grâce à l’utilisation d’un pseudonyme : Emile Ajar.
DÈS 21 H 45
SOIRÉE DE FÊTE
Suivez-nous jusqu’au Boq (Boquébière) pour poursuivre les festivités en bonne compagnie!
Voir la bande annonce Dossier de presseÉric Barbier
Éric Barbier intègre l’Idhec en 1979, l’occasion pour lui de réaliser une poignée de courts métrages et de faire connaissance avec Éric Rochant ou Arnaud Desplechin. En 1985, il réalise le pré-film du Brasier, un projet très coûteux qui ne se concrétisera qu’en 1991. Le jeune cinéaste fait preuve d’une ambition rare dans le cinéma français, puisque ce premier long métrage est une fresque historique sur l’univers des mineurs dans la France des années 30, avec Jean-Marc Barr en fils d’immigrés polonais épris de Maruschka Detmers. Prix Jean-Vigo en 1991, le film est un cuisant échec commercial qui éloignera durablement Barbier des plateaux de cinéma. En 1993, il signe pour Arte le téléfilm Un air de liberté dans le cadre de la collection Les Années lycée.
En 1999, il signe son deuxième long métrage, Toreros, plongée dans l’univers de la corrida doublée de l’étude d’une relation père-fils, avec Olivier Martinez et Claude Brasseur. Sept ans plus tard, Eric Barbier confirme son goût pour la noirceur avec le thriller Le Serpent, l’adaptation d’un roman du britannique Ted Lewis, autour d’une diabolique machination ourdie par Clovis Cornillac contre Yvan Attal.
En 2014, le metteur en scène retrouve Attal pour le film de casse Le Dernier Diamant, qui passe relativement inaperçu. Trois ans après, il revient avec La Promesse de l’aube, adapté du roman autobiographique d’aventure initiatique du même nom de Romain Gary. Ce long métrage ambitieux est emmené par Pierre Niney dans la peau de l’écrivain.