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Actualités

25.02.24 -

Une langue universelle

Winter. Somewhere between Tehran and Winnipeg, Negin and Nazgol discover a large sum of money frozen deep in the ice on the sidewalk and try to find a way to extract it. Massoud leads a group of bewildered tourists on an increasingly absurd walking tour of Winnipeg’s landmarks and historical sites. Matthew quits his job with the Quebec government and embarks on a mysterious journey to visit his estranged mother. Time, geography, and identities intertwine, overlap, and collide in a surreal comedy of misdirection. Structured like a Venn diagram—at the intersection of Jacques Tati’s humor and Abbas Kiarostami’s Koker Trilogy—A Universal Language is at once a film diary, an absurd urban symphony, and a deep dive into the emotions of the lockdown era. It explores the mysterious interzone where an individual ends and the rest of the world begins. A fleeting, half-remembered dream about home, loneliness, our responsibilities to others, and the wild turkeys that haunt us. Official Selection / Directors’ Fortnight – Cannes Films Festival – 2024Official Selection – TIFF- 2024

25.02.24 -

Une langue universelle

L’hiver. Quelque part entre Téhéran et Winnipeg. Negin et Nazgol trouvent une grosse somme d’argent gelée profondément dans la glace du trottoir et essaient de trouver un moyen de la faire sortir. Massoud conduit un groupe de touristes désorientés dans une visite à pied de plus en plus absurde des monuments et sites historiques de Winnipeg. Matthew quitte son emploi au gouvernement du Québec et entreprend un mystérieux voyage pour rendre visite à sa mère dont il est séparé. Le temps, la géographie et les identités se croisent, s’entrecroisent et s’entrechoquent dans une comédie surréaliste d’erreurs d’aiguillage. Structuré comme un diagramme de Venn – au point de confluence entre la trilogie Koker de Jacques Tati et celle d’Abbas Kiarostami – Une langue universelle est à la fois un film journal, une symphonie urbaine absurde et une remontée des émotions de l’époque de l’enfermement, explorant l’interzone mystérieuse où une personne s’arrête et où le reste du monde commence. Un rêve insaisissable, à demi remémoré, sur la maison, la solitude, nos responsabilités envers les autres et les dindes sauvages qui nous hantent. Sélection officielle / Quinzaine des cinéastes – Festival de Cannes – 2024Sélection officielle – TIFF – 2024

22.02.28 -

Ste-Anne

Best Canadian Film – Toronto International Film Festival – 2021Sélection officielle – Festival international du film de Berlin – 2021Sélection officielle – New York Film Festival – 2021 Renée, disparue depuis plusieurs années, retourne dans son village natal au cœur de la communauté Métis au Manitoba. Son arrivée inattendue perturbe l’existence de ses proches et surtout de sa jeune fille, élevée par son frère pendant son absence. À travers les photos de famille et les fragments d’histoires du passé, Renée tente de renouer avec ses rêves, mais de sombres nuages présagent un nouveau départ. À l’aide d’images intimistes tournées en 16mm et d’un environnement sonore hypnotique, Rhayne Vermette plonge dans les récits de cette communauté rurale. Elle donne vie à leur poésie vaporeuse où s’entremêlent les mémoires collectives et individuelles, un rapport étroit aux notions de filiation et d’absence ainsi qu’au territoire.

22.02.28 -

Ste-Anne

Best Canadian Film – Toronto International Film Festival – 2021Official Selection – Festival international du film de Berlin – 2021Official Selection – New York Film Festival – 2021 As a party wanders into the night, word arrives that Renée has emerged from obscurity. This cataclysmic moment ignites Modeste’s awkward reunion with his older sibling. Renée has been missing for years and her presence unsettles the family, which also includes her own daughter, Athene. As Renée begins to form her dreams from fragments of her past, ominous premonitions disrupt the land. Shot over the course of two years, Ste. Anne traces an allegorical reclamation of land through personal, symbolic and historical sites all across Treaty 1 Territory, heartland of the Métis Nation.

22.02.28 -

Courts Métrages – Sélection autochtone

Série de courts métrages autochtones de l’Office national du film du Canada. EN PRÉSENCE DE SUZIE O’BOMSAWIN, DIRECTRICE GÉNÉRALE ADJOINTE DU CONSEIL DES ABÉNAKIS D’ONANAK Au programme :Mary Two-Axe Early : Je suis redevenue indienne, de Courtney Montour (2021, 33 min)*L’Avenir entre nos mains, de Carol Geddes, Ginny Stikeman et Yolande Garant (1986, 29 min)Les enfants des Nomades, de Evelyne Papatie (2018, 2 min)Délia de 9 à 5, de Délia Gunn (2018, 3 min)Des histoires ancrées en nous, de Janine Windolph (2019, 11 min) *Photo d’en-tête.

22.02.28 -

Courts Métrages – Sélection autochtone

Native Shorts Films from the National Film Board of Canada. WITH SUZIE O’BOMSAWIN, ASSISTANT GENERAL MANAGER OF THE CONSEIL DES ABÉNAKIS D’ONANAK In the program:Mary Two-Axe Early : Je suis redevenue indienne, by Courtney Montour (2021, 33 min)*L’Avenir entre nos mains, by Carol Geddes , Ginny Stikeman and Yolande Garant (1986, 29 min)Les enfants des Nomades, by Evelyne Papatie (2018, 2 min)Délia d e 9 à 5, by Délia Gunn (2018, 3 min)Des histoires ancrées en nous, by Janine Windolph (2019, 11 min) * Featured image.